Le SNES contre la perte de la mention Electronique sur les cartes professionnelles des agents !

Article blog83-629

Olivier Duran:

Le SNES se mobilise contre le projet avancé de retirer sur la carte professionnelle d’APS basique la mention et donc la dimension complémentaire  « par des moyens  électroniques » .

Cela serait aller à l’encontre de la réalité quotidienne du métier d’autant plus qu’il s’agit plus que jamais de valoriser la fonction et que de toute évidence cela passe par l’utilisation grandissante de moyens électroniques.

Que la télésurveillance veuille  une carte spécifique  pour les agents  de surveillance dans les PC de télésurveillance pourquoi pas , quoique reste à en mesurer les conséquences, mais il ne faut en aucun cas retirer l’esprit même de la loi qui en l’occurrence avait vu juste et ce depuis des décennies.

Un peu de discernement et de concertation comme d’études d’impact et de faisabilité avant de prendre des décisions, c’est une exigence minimal! Non? Cela mérite une mobilisation . 

 

Le très discret article 2004-293XBS…..Info ou intox

Plusieurs fois par an, une rumeur parcourt le net sous la forme d’un mail évoquant « un décret paru en début de mois » censé sanctionner d’une amende de 180 euros le fait de ne pas avoir signé la vignette d’assurance automobile (carte verte) apposée sur le pare-brise.

Le décret 2004-293XBS est inconnu. En revanche, le décret 2004-293 du 26 mars 2004 existe bel et bien et concerne…l’agriculture raisonnée.

 Du coup ce décret est une intox, en France un décret n’est pas suivit de chiffre et de lettre.
Vous pouvez lire le forum le gendarme et le citoyen de 2008.

A partir du 01 juillet 2018 la limitation de vitesse sera de ….80km/h

Monsieur Edouard Philippe l’a rendue officielle lors d’une conférence de presse à l’issue du Comité Interministériel pour la Sécurité Routière (CISR).

Le Premier Ministre juge l’expérimentation sur les 86 km de route entre la Nièvre, l’Yonne et la Haute-Sâone « probante ».

Donc ce sera un fait : la limitation passera de 90 km/h à 80 km/h sur nos routes secondaires dès le 01 juillet 2018.

Des radars aux passages à niveau

Parmi la somme des 18 mesures annoncées en CISR ce 9 janvier, on trouve celles-ci :

– Le ministère chargé des transports évaluera sous 6 mois des mesures à mettre en place pour renforcer la protection des passages à niveau qui pourraient consister en des équipements en feu rouge, en des renforcements de la signalisation et en l’augmentation du nombre de radars automatiques.

– Le surplus de recettes des radars suite au passage à 80 km/h sera affecté à la création d’un fonds d’indemnisation des accidentés de la route.

– Développer d’ici 2020 la limitation de vitesse variable sur certains tronçons pour adapter la vitesse aux conditions de circulation.

– Publier dès 2018 sur le site internet de la Sécurité routière une carte présentant l’implantation des radars automatiques sur le territoire français, le lien avec l’accidentalité et les recettes générées, pour une information fiable et transparente des usagers de la route.

– Le permis de conduire pourrait être suspendu lorsque le conducteur tient son téléphone en main et commet en même temps une infraction menaçant la sécurité d’autrui.

– Le véhicule pourrait être mis en fourrière (obligation de présenter permis et assurance pour le récupérer) en cas de conduite, justement, sans permis ou sans assurance, ou bien en état d’ébriété.

– Étudier des aménagements de suspension de permis. Dès 2021, un conducteur contrôlé en excès de vitesse de plus de 40 km/h pourrait être autorisé à reprendre le volant, à condition de ne conduire qu’un véhicule équipé d’un contrôleur électronique de vitesse.

– Pour augmenter l’efficacité des contrôles d’alcoolémie et de stupéfiants, les forces de l’ordre pourraient être autorisées à suspendre temporairement la localisation de leurs points de contrôle. Ce dispositif pourra être appliqué également pour des opérations de lutte contre le terrorisme et la criminalité.

– Dès 2018, le Gouvernement voudrait mettre à disposition de tout acheteur d’occasion, gratuitement et simplement, sur le même principe que le certificat de non gage, l’historique des réparations importantes survenues sur ce véhicule.

– Pour déjouer la tactique des automobilistes abonnés aux stages de récupération de points, le Gouvernement pourrait augmenter d’un jour leur durée et consacrer cette troisième journée à l’examen des motivations d’ordre psychologiques chez ces récidivistes.

Récompense pour les conducteurs exemplaires

Celle du téléphone augmente sans cesse : selon la Sécurité Routière, parler ou pianoter sur téléphone tout en conduisant est à l’origine d’un accident sur dix. Et la vogue des selfies ne va pas arranger les choses. Rappelons qu’un véhicule lancé à 50 km/h parcourt 70 mètres en l’espace de 5 secondes, soit le temps que prend la lecture d’un message texte de quelques lignes.

Désormais, la suspension du permis de conduire sera possible s’il est cumulé avec une autre infraction, qui peut porter atteinte à la sécurité du conducteur ou des autres usagers de la route. Edouard Philippe prend l’usage du clignotant pour exemple, citant qu’il s’agit là d’un des signes que le conducteur n’est pas en mesure de maîtriser tous les éléments nécessaires à la sécurité du fait de la distraction induite par le téléphone.

Par ailleurs, le Premier ministre a annoncé que les refus de priorité envers les piétons pourront être verbalisées par vidéo surveillance.

Pour contrebalancer ces mesures répressives, Edouard Philippe a déclaré envisager vouloir récompenser dès le premier semestre 2018 les conducteurs exemplaires, c’est-à-dire ceux qui disposent de douze points sur leur permis. Aucune mesure précise n’a été annoncée à ce stade, mais le sujet est d’ores et déjà à l’étude par le Conseil national pour la sécurité routière (CNSR).

LIEN POUR ACCÉDER A LA PRÉSENTATION DE  MONSIEUR EDOUARD PHILIPPE

http://www.francetvinfo.fr/societe/securite-routiere/limitation-de-la-vitesse-a-80-km-h/direct-routes-secondaires-a-80-km-h-portable-au-volant-edouard-philippe-doit-annoncer-des-mesures-sur-la-securite-routiere_2553017.html

Augmentation du SMIC à partir du 01 janvier 2018

Vendredi, le ministère du Travail a annoncé que le SMIC pour l’année 2018 augmentera de 1,24%, soit de 9,76 à 9,88 euros brut de l’heure.

Cette revalorisation portera le SMIC brut mensuel à 1.498,47 euro pour un temps plein, soit une hausse de 18,20 € par rapport à 2017. Cette hausse sera plus forte, à la faveur des baisses de cotisations salariales de janvier à septembre (environ 20 €) puis à partir du 01 octobre (total environ 35 €).

Comme lors des revalorisations  des 5 dernières années précédente, le gouvernement n’a pas accordé de coup de pouce au SMIC. Il a suivit les recommandations du groupe d’experts sur le SMIC, une instance consultative composée d’économiste, qui a « recommandé de s’abstenir de tout coup de pouce afin de ne pas fragiliser les améliorations en cours ».

A lire aussi : Smic « trop élevé » selon un groupe d’experts : le gouvernement se dit « attaché » à une progression automatique

Pascal Pech (Snes) nouveau président ….

Le nouveau président du Syndicat national des entreprises de sécurité (Snes) est un ancien gendarme devenu responsable de la sûreté et de la sécurité du groupe bancaire LCL. En 2014, il prend le Groupe Etssra, basé à Chambéry (Savoie) qu’il rebaptise Groupe Panthera (chiffre d’affaires : 17 millions d’euros). À 43 ans, Pascal Pech, qui avait fait son entrée au Snes au cours du précédent mandat, vient d’être élu Président pour le mandat 2018/2020. Il a été également président de l’Agora des directeurs de sécurité de 2012 à 2014. À présent, Pascal Pech compte articuler les missions de son mandat autour de trois axes : le développement du capital humain des entreprises de sécurité privée, la défense de ces entreprises et de leurs valeurs, l’accompagnement au changement face aux mutations du secteur.

Le premier axe de votre mandat porte sur développement du capital humain. Pourquoi ce choix ?

Nous exerçons un métier à forte main d’œuvre. Il est donc logique de placer au cœur de nos préoccupations la position des femmes et les hommes qui constituent la profession et représentent la richesse principale de nos entreprises. Dans cet axe, il y a à la fois de la notion de dialogue social, la formation et l’attractivité du métier. L’idée, c’est de remettre le dialogue social à plat ainsi que de proposer aux partenaires sociaux un contrat d’étude prospective avec un cabinet spécialisé sous l’égide du ministère du Travail. Par cette démarche, il s’agit d’accompagner le secteur dans les mutations du secteur. Aujourd’hui, nous manquons de pertinence dans la vision de notre secteur. Du coup, le dialogue social ne s’établit pas sur les bonnes bases. Il faut trouver la vision de ce qui constitue les fondamentaux de la sécurité privée pour aujourd’hui et demain. En effet, notre profession subit de profondes mutations aussi bien économiques et sociales que managériales et technologiques. À partir de ce panorama de l’étude prospective, nous serons mieux en mesure de nous projeter dans l’avenir. Il s’agit, entre autres, d’étudier l’intégration des technologies de l’homme augmenté ou du drone ainsi que de définir une chaîne hiérarchique au sein même des métiers repères.

Concernant le volet de la défense des entreprises de sécurité privée et de leurs valeurs, à quoi faites-vous référence ?

Il s’agit de rétablir des relations équilibrées et constructives entre les entreprises de sécurité privée et les donneurs d’ordres dans un souci de valeur ajoutée de nos prestations. Chez les donneurs d’ordres, les deux parties prenantes sont la direction des achats et la direction de la sécurité. La première a développé une pratique qui consiste à acheter des heures de prestation. Résultat, notre métier est l’un des seuls où l’on en est réduit à vendre un nombre d’heures multiplié par un tarif horaire dans lequel sont noyés nos efforts de formation, nos pratiques sociales, nos investissements en R&D et innovation dans l’appui apporté aux agents… Cela tend à tirer le métier à la baisse. En parallèle, cela prive le donneur d’ordres de bénéficier de notre capacité à être concepteur de solutions de sécurité. Il faut changer de paradigme : passer d’une situation où l’acheteur s’approvisionne en tant d’heures à tel tarif à une démarche où le prestataire propose la valeur ajoutée de son expertise. Mieux vaut être dans une logique de résultat global plus que de moyens.

En clair, vous avez besoin de sortir d’une logique de tarif pour aller vers une démarche de valeur…

Oui mais pour cela il faut développer un dialogue constructif avec les donneurs d’ordres.

Comment comptez-vous vous y prendre ?

Le Snes a déjà enclenché une médiation sous l’égide de la médiation des entreprises au ministère de l’Économie et des Finances. Cette médiation comporte trois groupes de travail : les relations entre prestataires et donneurs d’ordres, les missions de la sécurité privée sous l’angle inter-entreprise et, enfin, la formation et la compétence des agents. Le premier atelier vient de se réunir. Le travail de la médiation va se dérouler pendant plusieurs mois. À l’approche de grands événements comme la Coupe du monde féminine de football de 2019, la Coupe du monde de rugby de 2023 et les JO 2024, il s’agit de positionner dès à présent notre profession comme interlocuteur expert sur la contribution des entreprises de sécurité privée à la sécurité générale dans le contexte antiterroriste. Ce qui revient aussi à poser la question de la place de la sécurité privée dans le continuum de la sécurité du territoire. On voit bien qu’il est nécessaire de réfléchir dès à présent au rôle de la sécurité privé, à sa structuration, à l’intégration de technologies nouvelles afin de pouvoir raisonner en termes de solutions et non pas uniquement en termes d’effectifs.

Vous tenez également, semble-t-il à lutter contre le dumping social et les pratiques déloyales dans votre secteur au travers d’une garantie financière. Qu’entendez-vous par là ?

Dans notre secteur, il y a des pratiques qui consistent à casser les prix au mépris de certaines règles sociales et réglementaires. Cette année, pour la première fois, le Snes et l’Union des entreprises de sécurité privée (USP) ont édité une grille des prix de revient de la profession. Or nous constatons que, dans un nombre important de marchés et majoritairement des marchés publics, les prix pratiqués sont inférieurs au prix de revient…

Dans un contexte de réduction du déficit de la France, quelles sont vos marges de manœuvre ?

C’est aussi l’un des objectifs de la médiation : optimiser les budgets alloués à la sécurité par d’autres moyens que la baisse du tarif horaire des agents. Cela passe, entre autres, par une analyse globale des besoins et une meilleure allocation des moyens. C’est donc dans l’expertise métier que l’on peut rétablir la valeur. À condition de faire évoluer les bases du dialogue.

Dans ce contexte comment va fonctionner la garantie financière que vous appelez de vos vœux ?

Cette garantie sera accordée par un organisme (à créer) de cautionnement mutuel sur la base d’une étude économique, sociale et réglementaire afin de rétablir les bases d’une saine concurrence. Une partie du travail a été faite par le Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps). Mais celui-ci atteint ses limites dans le domaine économique. C’est la raison pour laquelle il nous paraît nécessaire de mettre en œuvre cette garantie financière. La profession réfléchit depuis plusieurs années aux moyens de créer un marché concurrentiel sain. Dans cette perspective, cette garantie serait obligatoire au même titre que celle d’un agent immobilier. Elle se présentera sous la forme d’un cautionnement mutualisé dans le secteur. Et elle serait délivrée après analyse des pratiques fiscales, sociales et réglementaires des sociétés privées de sécurité. Nous voudrions que l’État impose cette garantie financière au titre de la lutte contre le dumping social et les pratiques déloyales en faveur de la création et la pérennisation d’emplois à valeur ajoutée. Ensuite, c’est à notre secteur d’en organiser la mise en œuvre sous forme de cautionnement mutuel afin qu’il soit accessible aux entreprises de toutes tailles. J’espère mettre en œuvre cette garantie durant mon mandat !

Propos recueillis par Erick Haehnsen

 

Suivons un peu Milipol …

Ce lien vous permettra de vous « balader » dans les allées et de vous faire une idée de qui est présent.

Milipol Paris 2017

Plusieurs actualités sont en place sur la page officielle : Milipol.com

FINALISTES MILIPOL INNOVATION AWARDS

Gestion de crise

  • FIRE SUPPRESSION SYSTEMS (Stand 6 B 014) : FSS50 – Premier extincteur au monde facile à manipuler
  • HTDS – HI-TECH DETECTION SYSTEMS (Stand 6 P 186) :
  • PHONAK COMMUNICATIONS (Stand 6 D 078) : Système Roger Covert

Cybersécurité

  • ATOS (Stand 6 S 197) : PSOC Prescriptive Security Operations Center
  • BRAINCHIP SAS (Stand 6 A 062) : BrainChip Accelerator, une carte pour le calcul neuromorphique
  • KUDELSKI SECURITY (Stand 6 B 135) : White Noise – Solution communications sécurisées

Drone et anti-drone, robotique

  • DIODON DRONE TECHNOLOGY (Stand 6 J 232) : DIODON drone – Premiers drones gonflables à plusieurs rotors
  • HGH INFRARED SYSTEMS (Stand 6 G 218) : Option V-LRF pour SPYNEL
  • THALES (Stands 6 P 170 et 6 J 228) : Spy’Ranger, un drone qui change la donne

Équipements individuels / Protection des primo-intervenants

  • A.SAMPAIO & FILHOS (Stand 6 H 181) : 63664 – Tissu retardateur de flamme et thermorégulé par matériau à changement de phase
  • BERTIN INSTRUMENTS (Stand 6 R 089) : FusionSight – Monoculaire portable
  • ROSTAING (Stand 6 F 215) : SCANFORCE – Gant détecteur de métal

Sécurité des villes intelligentes

  • AIR-LYNX (Stand H 218) : Air-Lynx Manpack ALM 17000 – Réseau radio LTE 4G portatif
  • BRAINCHIP SAS (Stand 6 A 062) : BrainChip Accelerator, une carte pour le calcul neuromorphique
  • HTDS – HI-TECH DETECTION SYSTEMS (Stand 6 P 186) : Barrières anti-camion-bélier

Pour en savoir un peu plus sur chaque prétendant au titre n’hésitez pas à cliquer sur le lien

 

La 20ème édition du salon international de la sécurité intérieure des Etats

Du 21 au 24 novembre 2017 au Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte en Seine-Saint-Denis se déroulera la 20ème édition du salon international de la sécurité intérieure des Etat.

Milipol est organisé sous l’égide du Ministère français de l’intérieur en partenariat avec la Police Nationale, la Gendarmerie National, la Sécurité Civile, la Douane, la Direction Générale de l’Armement et Europol.

Les chiffres communiqués par les organisateurs, 24056 visiteurs professionnels venus de 143 pays, 115 délégations officielles de 77 pays et 949 exposants venus de 55 pays ainsi qu’environ 358 journalistes issus de 22 pays qui se déplacent spécialement pour cet événement.

Le rendez-vous « Milipol Innovation Awards »

Un concours réservé aux exposants qui récompense les entreprises les plus innovantes du secteur. Les finalistes sélectionnés recevront le « Milipol Innovation Awards 2017 » lors de la cérémonie de remise des prix.

Ce sont 15 finalistes qui recevront le « Milipol Innovation Awards 2017 » dans les thématiques suivantes :

Gestion de crise

  • FIRE SUPPRESSION SYSTEMS : Premier extincteur au monde facile à manipuler
  • HTDS – HI-TECH DETECTION SYSTEMS
  • PHONAK COMMUNICATIONS : Système Roger Covert

Sécurité des villes intelligentes

  • AIR-LYNX: Air-Lynx Manpack ALM 17000 – Réseau radio LTE 4G portatif
  • BRAINCHIP SAS : BrainChip Accelerator, une carte pour le calcul neuromorphique
  • HTDS – HI-TECH DETECTION SYSTEMS: Barrières anti-camion-bélier

Drone et anti-drone, robotique

  • DIODON DRONE TECHNOLOGY: DIODON Drone – Premiers drones gonflables à plusieurs rotors
  • HGH INFRARED SYSTEMS: Option V-LRF pour SPYNEL
  • THALES: Spy’Ranger, un drone qui change la donne

Cybersécurité

  • ATOS: PSOC Prescriptive Security Operations Center
  • BRAINCHIP SAS: BrainChip Accelerator, une carte pour le calcul neuromorphique
  • KUDELSKI SECURITY: White Noise – Solution communications sécurisées

Équipements individuels / Protection des primo-intervenants

  • SAMPAIO & FILHOS: Tissu retardateur de flamme et thermorégulé par matériau à changement de phase
  • BERTIN INSTRUMENTS: FusionSight – Monoculaire portable
  • ROSTAING : SCANFORCE – Gant détecteur de métal

L’événement sera structuré autour de conférences sur les thématiques phares suivantes:

  • Cybersécurité et fraude
  • Gestion de crises et résiliences
  • Identité numérique et contrôle des frontières
  • Lutte contre le terrorisme
  • Sécurité dans la ville (Safe and Smart Cities)

Vitrine internationale pour les produits et services de sécurité publique et industrielle. Le salon accueillera tous les acteurs clés de la sécurité intérieure, les donneurs d’ordre, les fournisseurs ainsi que les experts, qui seront présents pour échanger autour des nouvelles problématiques de sécurité et aussi de découvrir les dernières tendances sur les nouvelles technologies.

Depuis 1984, le salon MILIPOL a pour vocation d’exposer des solutions en matière de lutte contre la criminalité, d’assurer la connectivité des forces de sécurité lors de missions critiques ou d’interventions dans les milieux hostiles. Rendre les villes et ses infrastructures plus sûres et plus intelligentes, sécuriser les marchés financiers mondiaux, protéger les données et la vie privée ainsi que pour les opérations de sécurité publique et de maintien de l’ordre, ainsi que la surveillance des frontières, sans oublier la sécurité aéroportuaire, portuaire et routière.

Consultez le programme complet

Réservez votre badge pour accéder au salon

source : sécurité-mag

Suppression du RSI voté par le Sénat

La disparition progressive du RSI a été voté par le Sénat ce mercredi soir. A partir du 01 janvier 2018, le RSI (Régime Social des Indépendants) sera progressivement adossé au régime général. Cette mesure, incluse dans le projet de la sécurité social, a été votée par 175 voix pour et 2 contre.

Une période transitoire de deux ans est prévue pour intégrer les indépendants au régime général. Ce régime a été mis en place par la droite en 2006, de nombreux dysfonctionnement ont été constaté depuis sa création.

Le maintien temporaire du fond national d’action social a été opté par les sénateur afin de palier aux inquiétude des indépendants.

Le RSI enregistre environ 6,5 millions de personnes

Des actifs, des retraités et leurs proches sont enregistrés sous ce régime. Ses missions (retraite,assurance maladie, etc….) seront reprise par les organismes du régime général comme URSSAF, CPAM. De même que ses 5.500 employés.

Une baisse « coup de pouce » viendra compléter la mise en place. A compter du 01 janvier 2019, les nouveaux créateurs et repreneurs d’entreprise bénéficieront d’une année blanche, sous conditions de ressources, des cotisations sociales, durant leur première année d’activité.

>> A lire aussi : La fin de la galère pour les travailleurs indépendants avec la disparition du RSI?

Déclaration commune SNES USP

source officielle et non modifieé :securite.e-snes.org

Nous vivons un véritable paradoxe ! Les entreprises de sécurité privée ont été fortement engagées, en appui de l’action publique, au lendemain des attentats terroristes et lors de l’Euro 2016. Elles ont fait la démonstration recon­nue de leur réactivité et de leur capacité opérationnelle sur l’ensemble du territoire. Et pourtant, nous assistons à une dégradation sauvage et continue du marché alimenté par des pratiques illégales et un dumping suicidaire visant à réduire, toujours davantage, les coûts conduisant à des prix anormalement bas.

Au risque de mettre en péril la sécurité de tous

On ne peut, sans cesse, revoir au rabais les prestations dans un contexte aussi sensible. On ne peut laisser faire, sans réagir, les entreprises peu scrupuleuses qui agissent pour leurs profits immédiats et contre la sécurité de tous.

Attitude irresponsable !

Voulons nous un secteur profitable et dynamique en capacité de répondre à de nouvelles missions et à de nouvelles exigences ? En capacité de réaliser les investissements nécessaires ? Voulons-nous être attractifs et offrir des per­spectives de carrière ? Voulons-nous transformer nos entreprises, offrir des solutions innovantes et gagner le pari des technologies ?

Evidemment, ceux qui croient en nos métiers, le veulent !

Aujourd’hui, responsables, nos deux syndicats représentatifs tirent solennellement la sonnette d’alarme. Nous por­tons en partage l’espoir des entreprises responsables qui ne veulent pas céder à la tentation du pire. Nous parlons donc, ici et maintenant, d’une même voix pour en appeler aussi à la responsabilité des acheteurs tant privés que publics. Il en va clairement de comportements d’achats irresponsables de certains d’entre eux. Tendance qui se généralise dangereusement.

Au regard des dangers que nous dénonçons, nos deux organisations appellent à la conscience de tous pour éviter la poursuite de ce jeu de massacre. Pour faire face aux nouveaux enjeux, pour investir, pour former, pour encadrer, nos entreprises doivent être rentables et cesser de séjourner en salle de soins palliatifs en dépendance permanente des aides de l’Etat. Oui. Il faut un nouvel ordre économique dans notre secteur. Il passe par une action collective mature que doivent porter les entrepreneurs de toutes tailles.

Ils s’engagent et prennent des risques

Il n’y a pas de sauveur miracle ni de guide auto-proclamé. Il y a des entrepreneurs, des entreprises et des femmes et des hommes qui doivent être fiers de leur métier et de leur utilité dans le dispositif de sécurité intérieure du pays.

SNES et USP partagent cette même vision et l’urgence du moment

Ensemble, aux côtés des entrepreneurs et de leurs salariés, il était de notre devoir de lancer, en commun, haut et fort, l’alerte !

 

Jean-Pierre Tripet, Président du SNES

Claude TARLET, Président de l’USP

 

 

Intervention du Président de la République sur la sécurité …..

Ce mercredi 18 octobre 2017, Monsieur Emmanuel MACRON Président de la République, c’est adressé aux forces de sécurité intérieur afin de présenter les nouvelles mesures de lutte contre le terrorisme ainsi que divers sujets afférents au climat sécuritaire difficile que traverse notre pays.

Un discours que vous pouvez découvrir en cliquant sur le lien ci dessous :

LIEN